j’écris
souvent pour te parler un peu,
capturer ton esprit
quelques instants à peine, si furtifs
et puis,
il s’enfuie vite vers de lentes errances,
mes mots me restent au coeur
comme les hauts murs de ma douleur,
j’écris
parfois pour la lumière captée
de l’espérance,
coin de rue d’un jour d’hiver,
pas comme les autres jours de l’hiver d’alors,
j’écris
pour accrocher au temps, qui nous éprouve
tes images du ciel et de l’eau qui se trouvent, au fil
mystérieux de ton Ariane sang,
j’écris
pour les liens qui nous lient,
bien au-delà des brisures, des dures réalités
senties dans le corps,
ici là et encore, si le mot te touche,
j’écris
pour le sommeil des étoiles, le long songe des fées
veillant au destin
de mon âme amoureuse,
j’écris
pour la bleue citadelle, jetée en flanc de mer
accrochée entre terre
et l’Ether,
signe de l’eau et des nuages, des très légers nuages
qui jouent ainsi dans l’azur,
si bleu
puis quelquefois, quand le temps est trop lourd
versent chagrin et pleurent,
au long des signes
Décembre 2009
souvent pour te parler un peu,
capturer ton esprit
quelques instants à peine, si furtifs
et puis,
il s’enfuie vite vers de lentes errances,
mes mots me restent au coeur
comme les hauts murs de ma douleur,
j’écris
parfois pour la lumière captée
de l’espérance,
coin de rue d’un jour d’hiver,
pas comme les autres jours de l’hiver d’alors,
j’écris
pour accrocher au temps, qui nous éprouve
tes images du ciel et de l’eau qui se trouvent, au fil
mystérieux de ton Ariane sang,
j’écris
pour les liens qui nous lient,
bien au-delà des brisures, des dures réalités
senties dans le corps,
ici là et encore, si le mot te touche,
j’écris
pour le sommeil des étoiles, le long songe des fées
veillant au destin
de mon âme amoureuse,
j’écris
pour la bleue citadelle, jetée en flanc de mer
accrochée entre terre
et l’Ether,
signe de l’eau et des nuages, des très légers nuages
qui jouent ainsi dans l’azur,
si bleu
puis quelquefois, quand le temps est trop lourd
versent chagrin et pleurent,
au long des signes
Décembre 2009