J’ai en coeur
la ligne tendre esquissée, d’une source qui se découvre,
pudique encore, juste jaillie des abysses de la terre,
une source qui vient caresser mes yeux,
Un souffle encore inconnu qui joue avec mes rêves,
comme la mélodie ouverte
des premiers jours,
alors, j’ai envie en moi de glisser mes pas dans tes pas,
glisser comme une idée qui s’installe et s’épanouit,
glisser, comme au soir
l’on s’endort, dans le silence des draps juste défaits.
Alors,
Il faudrait un chemin qui te ressemble,
un chemin d’herbe et de lumière,
un chemin sans doute étroit, et qui va son chemin
vers la source et la mousse,
là où le soleil se mire,
au miroir nu de l’eau murmurante.
© Michel BERTHELOT - Tous droits réservés 1999
la ligne tendre esquissée, d’une source qui se découvre,
pudique encore, juste jaillie des abysses de la terre,
une source qui vient caresser mes yeux,
Un souffle encore inconnu qui joue avec mes rêves,
comme la mélodie ouverte
des premiers jours,
alors, j’ai envie en moi de glisser mes pas dans tes pas,
glisser comme une idée qui s’installe et s’épanouit,
glisser, comme au soir
l’on s’endort, dans le silence des draps juste défaits.
Alors,
Il faudrait un chemin qui te ressemble,
un chemin d’herbe et de lumière,
un chemin sans doute étroit, et qui va son chemin
vers la source et la mousse,
là où le soleil se mire,
au miroir nu de l’eau murmurante.
© Michel BERTHELOT - Tous droits réservés 1999