La fin ce n'est pas la fin de l'Histoire. La belle histoire. La fin c'est le terme du tunnel. La sortie au jour enfin.
L'histoire ne s'écrira jamais pour moi au passé. Elle est vivante. Elle est belle. En lisière du désarroi et de la lumière je la retrouve. L'histoire c'est la foi qui jamais ne m'aura abandonné
en ces jours et ces nuits de chaos et d'errance. Je l'ai toujours gardée en moi même aux pires moments du Doute. De l'incompréhension.
Je suis heureux de cette intime conviction qui m'a préservé du néant. Qui m'a toujours montré le chemin de la lumière.
Les mots de la fin ne vont pas s'étaler longtemps ici. Bientôt viendront d'autres mots. Nouveaux. Partagés.
Je suis confiant dans les jours qui se dessinent comme une esquisse bien posée mais légère sur la toile encore vierge de toutes couleurs.
Je sais que l'âme - amie ne m'a pas abandonné.
Deux sonatines de Beethoven
Collage sur carton
© Michel BERTHELOT 1982
Je suis heureux de cette intime conviction qui m'a préservé du néant. Qui m'a toujours montré le chemin de la lumière.
Les mots de la fin ne vont pas s'étaler longtemps ici. Bientôt viendront d'autres mots. Nouveaux. Partagés.
Je suis confiant dans les jours qui se dessinent comme une esquisse bien posée mais légère sur la toile encore vierge de toutes couleurs.
Je sais que l'âme - amie ne m'a pas abandonné.
Deux sonatines de Beethoven
Collage sur carton
© Michel BERTHELOT 1982