1.1
Il n’y a pas trop de silence enfin d’éterniser Quelques signes infimes de Terre qui soient attribués finalement Jouer de ces mots qui s’évertuent à plaire aux résonances interminables des échos de Mer Les lignes s’acheminent avec Labeur et les sentes si simplement humides et bonnement données à la fureur d’aimer jouissent des lettres chaudes et s’alanguissent enfin
au Terme de Parole
Les figures bien cousues s’érigent et apostrophent les champs lointains et les bois verts plantés au bout Sous les feuilles rougies des liens ondule et s’affranchit la ligne de tes seins que la résine fige Néanmoins à son heure
Postures disant recousant les fragments Qu’est-il advenu de ma bave laissée au carrefour de mon amour ? Accrochées aux cellules improbables les stèles bêlent Ainsi les ponts faisaient
Marcher sur la pointe des pas pour ne pas effrayer l’aventure