Voici le ciel qui conte
ou quelquefois même, raconte
en rêves délicats,
évaporations ciselées
aux lentes contemplations des merveilleux nuages,
d’éphémères figures,
qui auraient ton visage,
si doux, si tendrement posé et si fragile,
au regard loin porté,
qui me prend, étonné, hésitant encore et en mémoire,
aux marches de ma liberté.

Fontainebleau. 14 février 2010
ou quelquefois même, raconte
en rêves délicats,
évaporations ciselées
aux lentes contemplations des merveilleux nuages,
d’éphémères figures,
qui auraient ton visage,
si doux, si tendrement posé et si fragile,
au regard loin porté,
qui me prend, étonné, hésitant encore et en mémoire,
aux marches de ma liberté.

Fontainebleau. 14 février 2010