Qu'est-il en moi
d'autre que l'infinie tristesse
tant et tant de rêves et de beauté
partagés
tant et tant de lumière
attendue
tant et tant d'offrandes
simples et posées
tant et temps fui et perdu dans la tempête et la furie
des uns
et des autres unis,
dans les ruines annoncées.
Pauvre croyant de l'amour et du Ciel
ne renie pas,
et même ton amour dissout.
laisse en toi la présence et la lente prière
adoucir ton mépris,
et sa mauvaise langue,
laisse en toi la figure
de la belle tendresse, de l'égérie bleutée
de sa svelte candeur,
tendre à ton à-venir.
Je ne veux pas crever.
Je ne veux pas finir ainsi qu’un chat mort
un matin de vent fort,
Je ne veux pas rêver
Je ne veux pas laisser le temps
bouffer mon coeur
et mon amour défunt
et mon regard porté au loin des embruns.
Musique, Oh ma soeur, ma compagne, ma source
de joie, du bonheur
glisse en moi tes lenteurs
et ta fougue et la tendre langueur
de tes lignes d’âmes.
Le ciel gris du mois présent
s’ouvre au bleu
des blés fouettés de juillet,
aux jours longs de l’été
quand le soir tranquille, porte au coeur
l’écho de l’aimée
s’évanouissant bucolique,
au soir.
d'autre que l'infinie tristesse
tant et tant de rêves et de beauté
partagés
tant et tant de lumière
attendue
tant et tant d'offrandes
simples et posées
tant et temps fui et perdu dans la tempête et la furie
des uns
et des autres unis,
dans les ruines annoncées.
Pauvre croyant de l'amour et du Ciel
ne renie pas,
et même ton amour dissout.
laisse en toi la présence et la lente prière
adoucir ton mépris,
et sa mauvaise langue,
laisse en toi la figure
de la belle tendresse, de l'égérie bleutée
de sa svelte candeur,
tendre à ton à-venir.
Je ne veux pas crever.
Je ne veux pas finir ainsi qu’un chat mort
un matin de vent fort,
Je ne veux pas rêver
Je ne veux pas laisser le temps
bouffer mon coeur
et mon amour défunt
et mon regard porté au loin des embruns.
Musique, Oh ma soeur, ma compagne, ma source
de joie, du bonheur
glisse en moi tes lenteurs
et ta fougue et la tendre langueur
de tes lignes d’âmes.
Le ciel gris du mois présent
s’ouvre au bleu
des blés fouettés de juillet,
aux jours longs de l’été
quand le soir tranquille, porte au coeur
l’écho de l’aimée
s’évanouissant bucolique,
au soir.