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Enfin toucher à ce temps insolent
l’affranchissant
lettres restantes
et boites improbables
Et telles ainsi les portes, mais ouvraient-elles au jour d’après ?
Les mots antérieurs voilent en délicatesse l’alternance et l’ennui
et bien alors
Qu’il se déchire le drap de mes antiques psalmodies !
Le livre noir de ma quête, endolori se meurt.
Qu’en est-il de ce suaire trop durement enfui et jeté déchiré à l’Obscur ?
L’ignorance et l’exubérance de la péroraison donnent écoute à l’imposture. Ainsi fut-elle et que la lumière, qui l’honore et loyale lui soit gré [A tOuT TemPs].
Prendre la ligne furtive d’un jeune sein et l’inscrire en Mémoire - Des [aNNéEs de SolITude - C’Est à [D]ire des AnnéES FroidEs ].
Le Temps s’Invente d’autRe[s] lunes
Nous sommes inscris ainsi dans la [LuMièRe des InsPirés DécouVreurs].
Oui, c’est bien alors un jeune sein qui touche au Ciel, dans l’entrebâillement éphémère d’un blanc corsage
Et puis alors arrive l’[InfinI BonHeur d’AimEr].


Comme sourde est ma nuit maintenant qui pleure en peine la M[use]
qui s ’[AbanDonnE].
J e R eSte Se uL Ain Si
et B[aTTanT] ce Ciel D’[insigni]Fiants rêVes sans Descen[dancE]



Il est des Rêves [éTo nnaNT] c’est à dire qui me donnent à croire en la Lu[mieRe]
infi[nIe]
des nuages éphémères
des landes éprouvées de sel et d’amertume


S’arrêter au chant interminable des lenteurs filantes où l’écume bave et se meurt
et fracasse son chant aux noirs et rugueux pontons
Les pas frôlent e[S]qui[v]Ent l’abysse et douloureux V[er]Ti[gE]
Le blé Ve[R]t de La l[aN]de où les m[OuT]ons paiss[En]t et prospère[Nt] ain[Si] S[Oi][T]

Lignes de crête[S] - 1
Tag(s) : #Nouveaux papiers
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